Après avoir vu le papillon de Marisil, j'ai voulu essayer de mettre moi aussi de la couleur, mais autant vous dire que je n'en menais pas large tant que je n'ai pas eu lavé mon ouvrage car j'avais une hantise que la laine déteigne. Je ne l'avais pas lavé avant. Une chance pour moi, c'était de l'acrylique et elle n'a pas bougé.

Dans "mes réalisations" - album photo colonne de gauche - vous découvrirez le même modèle.

Un premier essai réalisé en 2009 avec des petites perles noires.

Tiens ça tombe à pic pour la fête des grand-mères, oui mais je dirais des mamies jeunes ... n'est-ce- pas ?

Que vois-je sur ma page d'orange ??? : ceci :

Influencées par le culte du jeunisme à Hollywood, peu de stars décident d'afficher leur chevelure au naturel passé 40 ans. Il faut dire que le sujet est tabou, car signe de notre vieillissement. Malgré tout, des femmes comme Glenn Close, Jamie Lee Curtis ou Françoise Hardy nous montrent la voie à suivre pour assumer une chevelure parsemée de cheveux gris ou totalement blanchie.

Autant se faire une raison, cette évolution est inéluctable, même si certaines ont plus de chance que d'autres : le premier cheveu blanc peut apparaître à 25 comme à 40 ans, selon notre patrimoine génétique.

Si pour vous les colorations sont contraignantes (et ruineuses !), il convient de prendre bien soin de vos mèches argentées laissées au grand jour. En vieillissant, vos cheveux  changent de nature : ils peuvent devenir plus épais, ou plus frisottants. Vous devrez alors changer de routine en prenant en compte cette évolution. Il existe en outre des shampooings spécial cheveux blancs enrichis en soin déjaunisseur.

Pour une allure dynamique, les coiffeurs conseillent plutôt des coupes courtes : à la garçonne ou au carré ! Si vous souhaitez les porter longs, le volume ou les torsades sont de mise pour éviter l'effet plat et terne.

Pour vous aider à accepter et assumer ce changement, sachez que même les plus jeunes choisissent de passer au gris, comme Rihanna ou Nicole Richie, signe que cette couleur n'est pas si décriée sur le devant de la scène !

Aujourd'hui 2 février 2014, malgré la neige tombée cette semaine qui recouvrait de son manteau blanc la campagne environnante, les routes étant dégagées, je ne pouvais manquer de me rendre à la "clôture"....

En effet, c'était le dernier jour pour voir la crèche d'UPAIX qui a eu un record d'affluence. Demain les santons vont retrouver leur boites en carton. Dans un message précédent, je vous avais mis en ligne des articles de presse vous invitant  à vous rendre à UPAIX pour visiter la crèche qui, pour la première fois, a été installée dans la chapelle des Pénitents sur la place du village. Une très belle réalisation.

Un énorme travail effectué par les quelques bénévoles de l'Association. Ils ne sont pas nombreux mais ils ont fait un travail remarquable. ne serait-ce que la construction des différentes structures rappelant les édifices du village : On y retrouvait le pigeonnier, la porte du château, la fontaine sur la place, et celle du bas village où une bugadière y faisait la lessive, et même la tour qui domine le village et je ne compte pas le temps passé pour l'aprovisionnement et la mise en place de tous les végétaux.

de beaux tableaux :

Les visiteurs ont été accueillis dans une ambiance feutrée, et bien chauffée....vous pouviez vous installer confortablement autour de la table de Noël sur le coté de la chapelle.

Et bien oui, vous y avez retrouvé mes petites provençales qui sont toujours là pour vous souhaiter la Bienvenue à UPAIX, village de mes aïeux ....

Pour clôturer cette réalisation qui aura duré un mois, ces dames de l'association "Castrum de Upaysio" avaient amené leurs crépières : Une invitation à la dégustation avec des confitures maisons, pendant que de l'autre côté des messieurs vous offraient un verre de cidre. Quelle chaude ambiance et quel agréable moment convivial ! les absents ont eu tord.

Je vous donne rendez-vous pour la prochaine Manifestation .....

Cette manifestation organisée par "Lei Roucas dou Bàrri" pour la neuvième année (ils fêteront leur dixième rencontre l'année prochaine) a regroupé 28 exposants : des associations, des indépendants, deux stands de mercerie, et un libraire et un santonnier. J'ai été trés  contente, cette année, d'avoir pu  m'y rendre et doublement ravie car j'ai pu rencontrer une amie blogeuse, Marie SYLVESTRE, avec qui je correspond depuis quelques temps déjà et qui réalise de très belles pièces. et j'ai retrouvé également , Georgette KODJABACHIAN, dont j'avais fait la connaissance en 2008 (déjà) lors de la première rencontre des dentellières aux fuseaux à UPAIX. Nous exposions toutes les deux dans les salles du château.

Dimanche j'ai pu apprécié doublement toutes les pièces magnifiques que j'ai vues et les regarder de très près, puisque voilà deux ans maintenant que je poursuis mon entraînement au boutis. Je suis en admiration devant ces pièces de grande qualité.

Cette rencontre, cette année était placée sous le signe du papillon. Plus de 120 papillons étaient exposés pour être paratagés et prendre leur envol en fin de journée.

A l'entrée, Ces dames de l'association vous accueillent en costume :

Un santonnier, eh oui, tradition oblige, mais qui n'exposait que des boutisseuses.

toutes plus belles les unes que les autres, et je dois dire que ce n'est pas un santon très courant,

Il est rare d'en voir dans les foires de santons au moment de Noël

un très joli cadeau à faire à une boutisseuse, pensez-y ....

En fond de salle, un aperçu de tous les papillons rassemblés :

J'ai reconnu desuite celui de Marysil au premier rang, devant au milieu, en forme de coeur.

des pièces les plus petites aux plus grandes .....

J'ai pris des idées plein la tête...

des petites suspensions pour arbre de Noël,

des petites cadeaux personnalisés ...

et si je vous montrais des coussins ? Qu'en pensez vous ? En effet, mon objectif s'est attardé sur ces trois là, que je trouve vraiment réussis, chacun dans son style. Trois modèles différents. je pensais au mien que je viens de terminer, voir article précédent.

et une pièce plus contemporaine :

l'artiste a signé son oeuvre jaune soleil

Au fil des stands .....

La suite des photos à demain. Bonne soirée.

Samedi dernier, jour exceptionnel pour les amateurs de costume provençal, un "VIDO GARDO RAUBO" était organisé à l'initiative du Rode Osco Manosco. Très bonne initiative car une telle vente ne court pas les rues. Je remercie la Présidente d'avoir accepté mon inscription. On ne trouve pas des pièces de costumes à prix je dirais "abordables" si facilement, et cela aura été l'occasion pour moi de satisfaire quelques personnes en quête de coiffes et fichus blancs brodés. De nombreuses personnes se sont déplacées de Marseille, La Verdière, Sisteron .... pour trouver la pièce unique. Nous y avons fait des affaires...

A cette occasion une mamie (que je nommerai pas) voulant "éclaircir" le contenu de ses vieilles armoires m'a fait de petits cadeaux que j'ai fortement appréciés. Je ne saurais trop la remercier car ces pièces vont venir enrichir mes prochaines expo et à travers ce don, la mémoire de nos aïeules ne s'éteindra pas.

Un lot d'anciens crochets à lacets ou crochets à Bottines : Un ustensile, je dirais pratique dont on ne se sert plus aujourd'hui.

Des boules à repriser : combien de veilles chaussettes ont vu leur vies prolonger grâce à elle ?

Une quenouille, Une aiguille de tapissier et tout un lot de vieilles aiguilles à tricoter en fer.

Où en est mon apprentissage de la frivolité ??? eh bien, je dois dire que je veux faire trop de choses à la fois, et je ne prends pas ma navette aussi souvent que je le souhaiterais, mais bon, je progresse doucement, mais sûrement.

A présent, je maîtrise les double noeuds, les picots. je sais lier entre eux des picots superposés. Je sais donc assembler les anneaux entre eux, voir photo ci-dessous, et à présent je sais entourér les anneaux d'arceaux. Mais bon l'entraînement, je sais bien qu'on ne peux pas y échapper, mais dès que l'on commence à se débrouiller, on a envie de réaliser quelque chose.

J'ai trouvé un modèle de broche, et je vais essayer, mais il faut du temps ..... c'est pourquoi, je délaisse un peu mon blog en ce moment.

Je vous dis à tès bientôt. Mais n'avez-vous pas envie d'essayer vous aussi ??

Et si nous cherchions à en savoir un peu plus sur la poterie  en général ...

Dans une poterie, il y a cinq phases de travail : la préparation de la terre, le tournage, l'émaillage et le séchage, la cuisson et ensuite, si ce n'est pas pour un usage personnel, la commercialisation.

LA PREPARATION DE LA TERRE :

La phase la plus longue et la plus ingrate aux dires des initiés est certainement l'extraction et la préparation de la terre.

La préparation consiste en trois opérations distinctes : le portage, le battage et le coupage en lamelles de la terre destiné à détruire les noeuds qu'elle pouvait présenter.

LE FACONNAGE :

il y a plusieurs façons de monter un pot :

- La première, la plus simple c'est celle que l'on a tous fait au moins une fois quand nous étions petits, c'est de creuser une boule d'argile avec les doigts, de la lisser. Mais de cette façon, il est évident que l'on ne peut pas faire de grosses pièces, ni en faire en grosse quantité.

- une seconde technique consistait à enfiler sur une tige des gabarits reliés par des lamelles verticales et à enrouler en spirale une corde de la base au sommet pour déterminer le galbe intérieur du futur pot. On plaquait alors la terre sur la corde et on la lissait. On obtenait ainsi après récupération de la corde et des gabarits des pots de grande taille. Cette technique fut utilisée jusqu'en 1945 à Aubagne. C'est une méthode qui peut être rapprochée de celle des temps néolithiques où l'on façonnait un pot en le lissant autour d'un panier.

- la troisième technique consiste à enrouler sur lui-même un serpentin de terre dit "colombin". Chaque tour devenant solidaire du précédent par léger tassement. Cette technique a été utilisée pour des pièces lourdes et de grandes tailles. Le montage par colombin pouvait également se faire sur un tour très primitif, un pseudo-tour, que l'on déplaçait à la main. cas de Thiat dans la Haute-Vienne.

On en arrive ainsi aux tours proprement dits qui se ramènent à deux types : le tour à bâton et le tour à pied.

Le tour à bâton est préférentiellement le tour du Nord de la France. Son origine serait germanique et vis à vis du tour à pied présenterait un caractère récessif. Son principe repose sur la force d'inertie d'un volant qu'on lance à l'aide d'un bâton. En l'occurence, une roue de charette, posée sur un pivot et convenablement lancée suffira à faire l'affaire. 

Dans le tour à pied, la lourde roue de fer est remplacée par un plateau circulaire que le potier entraîne en permanence avec son talon. L'entraînement pourra aussi se faire à l'aide d'une pédale latérale.

Pour la fabrication des grandes pièces, que ce soit par le procédé du colombin ou au tour, il était nécessaire en cour de montage de faire légèrement durcir la partie inférieure afin qu'elle ne s'affaise pas sous le poids de la terre qui allait constituer la partie supérieure. On plaçait alors au centre de la pièce en cours de montage, un braséro de fer rempli de braises. Les parois, une fois durcies, le tournage pouvait reprendre. Pour les très grandes pièces le procédé pouvait être utilisé deux fois.

La dernière façon de créer une pièce pouvait l'être par moulage. Procédé très ancien puisqu'on le retrouve chez les sigillées des Gallo-Romains. Il sera plus ou moins utilisé mais il sera plus fréquent dans le midi de la France que dans le Nord. Le Midi ayant gardé plus longtemps la tradition d'une vaisselle de terre soigneusement émaillée, faite de pièces de forme, donc obligatoirement moulée, parallèlement à la vaisselle de faïence. Les moules seront en terre ou en plâtre.

Je relèverai une petite précision, c'est qu'à la poterie, le collages des anses "L'ansage", est traditionnellement le travail des femmes. Travail moins fatiguant que le tournage mais très délicat car les anses, surtout dans les grands saloirs, qui auront à supporter des charges considérables ne doivent en aucun cas se détacher. Nécessité d'observer entre le pot en cours de séchage et l'anse que l'on y applique un degré d'humidité compatible et de bien ancrer les anses sur les panses des pots.

 LE SECHAGE ET L'EMAILLAGE

Détaché de son tour, le pot encore humide sera mis à sécher. D"une manière générale le Nord préfèrera un séchage dans des hangars aérés mais à l'abri du soleil. Lorsque l'on désirait un séchage accéléré on pouvait placer les poteries dans le four encore tiède ou encore disposer des braséros dans l'atelier. Le Sud optera pour un séchage au soleil auquel les qualités des terres ne sont pas étrangères.

Les pièces dont on désirait soigner la finition étaient reprises sur le tour après un premier séchage partiel ou, à l'aide d'un "tournassin" petite pièce de fer enmanchée, on ébarbait, on lissait ou on décorait de quelques traits la pièce.

Bien sec le pot pouvait alors être émaillé ou non. L'émaillage coûtant cher sera utilisé avec logique. Emaillage intérieur des pots cuits aux environs de 900° à 1000° et de ce fait poreux, émaillage de leurs goulots pour en faciliter le nettoyage. Mais, par contre, pas d'emaillage pour les ploteries de grès cuites entre 1100° et 1 300° rendues naturellement imperméables lors de la cuisson par vérification superfcielle de la surface. Seront par contre émaillées sans souci d'économie, les pièces de prestige, les pots de mariage, les vases décoratifs...

La base de l'émail que l'on rencontre le plus souvent est essentiellement le plomb, quoiqu'il y ait bien d'autres façons pour émailler (cendre de bois, laitiers réduits en poudre des bas fourneaux une fois fondu on y ajoutait de la centre de bois et l'on brassait le tout avec une barre de fer portée au rouge. La poudre obtenue était tamisée finement et utilisée soit par aspersion poit par immersion de la pièce. Pour obtenir les couleurs on incorporait des oxydes, ainsi celui de cuivre pour obtenir le vert ; de fer pour le noir, de bleu de cobalt pour les bleus.

Vers 1830 on reconnut les dangers dus à la manipulation du plomb et les maladies graves qu'elle entraînait ; il faudra un siècle pour que son emploi soit définitivement interdit. 

La poterie culinaire de Vallauris étant poreuse, il convenait de l'émailler intérieurement. l'extérieur restant sans émail pour pouvoir aller au feu et se dilater sans risque d'éclatement.

LA DECORATION

Aborder les notions d'émaillage, c'est déjà parler du décor.  Un pot sur lequel on aura pris soin d'appiquer une larme de laitier ou une tâche de cendre de bois est déjà un pot décoré. Notons au passage que toutes les poteries auxquelles on aura apporté un surcroît de finition sont dans tous les cas des pièces admirablement tournées, très belles dans leurs lignes. Mais, la plupart du temps, seule la pureté de la forme, la qualité du tournage suffira au potier qui saura, lui, qu'il a réalisé une pièce parfaite. Il ne faut pas perdre de vue que dans bien des centres, notamment en Savoie ou en Dauphiné par exemple, le décor n'a pour but que de dissimumer les imperfections et que la clientèle locale rurale ne s'y trompait pas laissant aux touristes les pièces les plus colorées.

Le premier décor est celui fait avec les doigts. Ce sera jusqu'à une époque récente celui des potières corses ou bretonnes. Ce sera aussi le décor sur les bandelettes de terre appliquées sur les poteries d'Auvergne, du Périgord ou de l'Ain. Mais là encore il ne faudra pas perdre de vue que ces côtes disposées le long des pots sont au premier chef des éléments de protection.

Une façon simple également de décorer consiste à l'aide d'un clou ou d'un peigne à tracer des cannelures droites ou ondées sur le pot encore humide. Ce procédé a beaucoup été utilisé pour les grès ; lorsque le potier sentait que la forme était bien venue c'était un peu le dernier coup de chic qu'il donnait.

On pouvait aussi décorer avec un poinçon (pastille, rosace, fleurette ...) ou avec une molette. Des pièces démonétisées pourront également faire l'affaire.

Une technique plus complexe qui a valu à Beauvais ses lettres de noblesse est celle du décor dit "à scrafito". le principe consiste à enduire par trempage la pièce d'une engobe d'une certaine couleur, puis après séchage, d'une seconde engobe d'une couleur opposée. Par grattage de la seconde couche la première apparaît.

On peut également obtenir des effets spectaculaires en mélangeant terres blanches et terres rouges qui donneront au tournage un aspect jaspé. Deux villes Apt et Uzès se disputent l'honneur d'être à l'origine de cette technique.

Plus simplement on obtiendra le jaspage par la peinture. Cette technique sera utilisée dans toute la Vallée du Rhône.

Un autre type de décor fréquent consitera à opposer des terres de couleurs différentes en collant sur le pot "à la barbotine", des motifs moulés ou sulptés. Cette liste des principaux procédés de décoration n'est pas limitative.

L'ENFOURNEMENT. LES FOURS

Les fours se ramènent à quatre types principaux, ne citons que pour mémoire l'utilisation des fours de boulangers ou les mariages plus ou moins réussis avec les verreries.

Un four simple, dont les derniers exemplaires ont été utilisés en Bretagne durant la guerre, est une sole ciruclaire posée sur un petit muret sur laquelle on emplilait les porteries en forme de dôme, on lutait l'ensemble, on chargeait le foyer d'aiguilles de pin et l'on conduisait le feu pendant deux heures avec des fagots de genêts. le refroidissement demandait quatre heures.

Un des modèles les plus répandus destiné à la cuisson des terres ne soupportant pas plus de 1000° consiste en une chambre rectangulaire construite en pierre ou en argile. Un tiers est destiné au foyer et deux tiers au laboratoire. Il est souvent installé sur un terrain en pente pour accélérer le tirage. Sa dimension est de cinq à six mètres pour une largeur de trois mètres; la cuisson durait cinq à six heures. A l'habitude le potier jugeait du moment opportun pour arrêter le four.

Le troisième type également très répandu consiste en une chambre cubique en terre réfractaire bâtie sur une voûte où se situera le foyer. Des trous aménagés dans cette voûte conduiront la chaleur qui après avoir léché les pots sortira par un certain nombre de cheminées situées au sommet de la chambre supérieure.

Plus complexe, destiné à la cuisson des grès, soit de 1100° à 1 300°, sera le four-couloir. C'est un demi-cylindre couché  axe de tirage oblique et à foyer terminal. il est construit en pierre et possède une cheminée. Dans la cheminée dite "culasse" on empile encore des pots jusqu'à mi-hauteur et l'on y place les "montres" qui permettent de suivre les degrès de températures. La cuisson délicate est divisée en "petit feu" (la trempe) qui dure de seize à dix-huit heures et en "grand feu" qui dure de trente-six à quarante heures.

Dans les fours les plus anciens et les moins élaborés la cuisson pouvait durer huit jours et plus.

L'enfournement était une opération très délicate et souvent on faisait appel à un spécialiste. Une cuisson ratée pouvait signifier la ruine d'un atelier. Le principe consite à empiler les petits pots dans les grands, à les serrer au maximum pour éviter les déperditions de chaleur tout en évitant qu'ils ne se touchent ou qu'il s ne s'affaissent. Dans les grands fours de trente à cinquante mètre cubes c'était parfois toute la production d'un mois que l'on empilait. Le refroidissement durait huit jours.

Restait ensuite la commercialisation ...

Source de mes informations :

un ouvrage extrêmement bien documenté : "POTIERS ET POTERIES" d'Alain BAVOUX -

Editions Charles Corlet - Mars 1983.

A noter que des cartes postales anciennes souvent uniques ou inédites servent de support à ce livre. 

Comme toutes les personnes présentes ce jour là, j'ai été trés intéressée par la démonstration de montage de jarres à la corde, effectuée par Philippe BRZEZINSKI, Céramiste-potier et spécialiste reconnu en la matière. Un savoir faire mis à l'honneur auourd'hui. Si vous aviez besoin des services d'un potier, vous pouvez le retrouver à Saint-Etienne Les Orgues.

C'est dans le cadre de la Fête Internationale de la Nature que l'Association du Patrimoine, en partenariat avec Alpes de Lumière a organisé cette balade Samedi dernier de 13 h 20 à 18 h 30 Les personnes qui y ont participé ont fort apprécié.

Du tunnel du château de Peyruis au pont romain de  Ganagobie, ce ne sont pas moins de 57 ouvrages à voir au passage, à commenter, à photographier. Autant d'ouvrages d'art (arqueducs, souterrains) qui ont été nécessaires pour contourner le plateau de Ganagobie et franchir les nombreux et profonds ravins qui se gonflaient autrefois au moindre orage. Des ouvrages souvent en parfait état de conservation et de fonctionnement aujourd'hui.

Des paysages superbes depuis ce circuit panoramique qui domine la vallée de la Durance. Ci dessous quelques photos que je vous invite à découvrir.

Ci dessous le canal au départ de Peyruis. En fond le château.

Ci-dessous , une bâche en pierre

Sur ce parcours de 6 km 45, on compte 57 ouvrages , dont

5 tunnels - 5 grands aqueducs de plus de 20 m et 2 siphons.

Plusieurs aqueducs sur ruissellement allant de 8 à 18 m,

 des ponts voutée sous ruissellement avec des bâches en pierre

Ci-dessous photos du groupe en bordure du canal de Manosque.

Ci-dessous, le pont Romain

Ce fut une balade très instructive.

Tout le monde le sait, quand on est propriétaire d'une maison, on n'a jamais fini, Terminé d'un côté, il faut recommencer de l'autre ....  et je dirais c'est bien ainsi .. car on a toujours envie d'un peu de renouveau et cela redonne du "peps" .... J'ai donc réquisitionné mon homme "Multiservice" ......

Détapissage ..... ponçage .....

Dernière pièce dans la maison où le carrelage n'avais pas été refait, C'est à présent une bonne chose de faite : Des carreaux 30 X 30, en grés césame émaillé couleur "Grey" à coller sur l'ancien carrelage.(carreaux des années 50 jaune mouchetés de blanc et grosses plinthes marron); Effectivement un certain travail de préparation ..... enlever les anciennes plinthes et redresser .....Mais on n'a jamais rien sans rien ....Première satisfaction : Nous avons choisi la bonne épaisseur qui arrive pil poil avec les carreaux du couloir. Plus besoin de barre de seuil. Une première étape de terminée.

A présent choix de la peinture !!!!

Cette chambre accueille mes petites filles qui, à présent sont devenues des jeunes filles, et occasionnellement sert aussi de chambre d'amis.

Cette chambre, j'ai envie qu'elle soit "Douceur de vivre",  qu'elle soit féminine et claire, et qu'elle soit à la fois "ambiance grand style" et un peu chambre "à la campagne", pas évident, n'est-ce pas ? et aussi difficile d'allier sobriété et raffinement ..... une chambre à lire et à dormir à la fois, fraîche, sereine et confortable .....

 C'est toujours un moment de grande réflexion : j'en rêve la nuit et enfin je confirme mon choix. Deux pans de murs en Corosatin : "Dragée rose" et les deux autres côtés : peinture de chez "RIPOLIN" : couleur "ciment Satin" (un gris clair) qui je pense devrait bien se marier avec le dragée rose et en harmonie avec le carrelage.

Début de l'étape peinture. J'ai hâte de voir le résultat final..... A bientôt ....

Nadine de Trans en Provence s'est rendue sur le plateau de Valensole et vous parle de la lavande. Tout comme je l'ai fait dans un message précédent, elle a également incorporé un diaporama. Je vous invite a lui rendre visite et lui laisser un petit commentaire. Merci Nadine pour ton lien.

http://www.transenprovence.org/article-les-fuseaux-ou-fusains-de-lavande-108437930.html

très belle journée pour la Fête du costume au "Petit Trianon de Provence" qui s'est déroulée hier, 1er Juin. C'est la troisième fois que j'ai la chance de pouvoir m'y rendre et participer à la présentation des costumes de différentes époques, tous plus magnifiques les uns que les autres et je dois dire que c'est un moment très instructif. car chaque costume est présenté. Plus de 200 personnes ont défilé. Parmi elles des groupes folkloriques locaux : Le Rode Osco Manosco, la Fileuses d'Oraison, des groupes du var, de Marseille, Arles, Pernes les Fontaines...,

cette manifestation s'estt déroulée suivant le programme ci-dessous.

Ci-dessous quelques photos souvenirs de cette journée :

 Cela a été une très belle journée. REndez-vous est  pris pour dans deux ans.Ci-dessous, article paru dans la presse.

Je vous invite à découvrir de plus belles photos sur le blog de mon amie Cécile qui était également présente   Vous l'aurez compris, tous les amoureux du costume se retrouvent au château de Sauvan... Un rendez-vous incontournable Vraiment dommage que ce ne soit que tous les deux ans.

http://garibondy.over-blog.com/2014/06/fete-du-costume-2014-au-chateau-de-sauvan.html

Un rendez-vous incontournable pour les amateurs de piano :

La Roque d’Anthéron est célèbre pour son Festival International de Piano qui s'est déroulé cette année du 20 juillet au 20 août. Donc plus que quelques jours ..... En ce moment le Festival 2012 est diffusé à la Télé..

Ci-dessous quelques photos qui ont été prises un matin lors des répétitions.

photos prises le matin lors d'une répétition ......

Je vous avais déjà parlé de la Roque d'Anthéron dans un message précédent (19 Février 2013) mais aujourd'hui, avec le Festival, je vais vous montrer des photos du Parc du Château. 

Parc du Château de Florans :

• La renaissance provençale :

  Situé dans le village de la Roque d'Anthéron, le Château de Florans date du début du XVIIème siècle et possède un magnifique parc dont l'allée principale, bordée de 365 platanes centenaires, majestueux et protecteurs du promeneur, est un endroit magique. Au coeur du parc, la clairière a été aménagée par le Festival en un véritable auditorium de plein air d'une grande qualité acoustique. Il n'est pas possible de visiter le Château. raison pour laquelle je n'ai jamais eu l'occasion de m'y rendre, mais je me suis laissée dire qu'il était ouvert au Public seulement un mois par an, le mois du Festival. Un de mes amis s'y est rendu et m'a envoyé les photos ci-dessous :

  

  

  

  

  

  

  Le petit Yorkshire, vous l'aurez compris est le chien de mon ami. Merci Pierre pour le partage de ces photos. Ce parc incite vraiment à la promenade à l'ombre de ces grands arbres.

Septembre, c'est aussi la rentrée pour les associations. J'ai donc retrouvé les copines de l'atelier.... J'ai laissé un peu de côté ma frivolité de cet été, et je me suis remise au boutis. Nous préparons activement le 8ème marché de la création organisé par "Volonne Initiatives" à l'Espace Notre Dame à Volonne, qui aura lieu, cette année :

les Samedi 22 et Dimanche 23 novembre 2014.

Notez d'ores et déjà cette date dans votre agenda. Je vous y donne rendez-vous.

j'ai repris mon livre :

 "Les anges en Boutis" de Blandine Dubos

que vous pouvez vous procurer aux Editions de Saxe. et grâce au Tuto, j'ai réalisé ces jolies "Matriochka". Bon chacun ses goûts, elles plaisent ou pas, mais voici le résultat :

Quand les poupées russes se prennent pour des anges .... et pourquoi pas !

(mais je ne leur ai pas mis des ailes !)

D'un côté les icônes orthodoxes russes, Symbole de foi et objet de dévotion, représentent les anges sacrés.

De l'autre, le folklore russe perpétue l'image de la famille à travers les matriochkas. Car autrefois, chaque poupée représentait un membre de celle-ci. La plus grande symbolisait la mère, la matriochka ; les autres de plus en plus petites représentaient les enfants. On retrouve également des poupées où figurent des personnages issus des icônes.

Alors, du profane au sacré, il n'y a qu'un pas, pour que ces matriochkas se prennent pour des anges .

Merci Odile, j'ai bien noté ton commentaire. Bises.

Quelques jours de vacances sous d'autres cieux, que cela fait du bien .....!  Une réservation sur Internet, un clic sur la souris et le tour est joué. Je dois dire que j'ai eu du nez, car nous sommes vraiment bien tombés côté hébergement. Je vous recommande cet endroit, si d'aventure vous projetiez d'aller, vous aussi, découvrir le Lac Majeur.

Ni chambre d'hôte, ni vraiment un hôtel, c'est un corps de ferme du XVIIIème siècle qui a été restructuré au coeur du village de Capronno à seulement 3 km des rives du Lac Majeur et de la ville d'Angera : un endroit au milieu de la campagne, très calme. Pas de problème de parking. Vous avez un emplacement réservé devant la maison.

Une affaire familliale :Trois batisses : La maison rénovée avec les chambres. Sur le côté, à droite, une seconde batisse, certainement dans une ancienne écurie au vu des voûtes : le Restaurant : OSTERIA. et en fond, une porte vitrée bleue, une petite maison d'époque au toit pointu qui ne paye pas de mine mais qui a été rénovée en Piano Bar, où les pensionnaires de l'établissement prennent le petit déjeuner. Si vous aimez les vieux meubles, le côté "vie d'antan" vous serez ravis, tout comme moi je l'ai été.

Bien sûr, j'ai pris des photos que je m'empresse de partager avec vous. Dès notre arrivée, en milieu d'après-midi, nous récupérons la clé de la chambre et déposons nos valises.

Je vous présente

Locanda "La Casetta" della Vecchia Capronno :

la porte de notre chambre se situe sur ce balcon fleuri.

(porte du milieu)

Le coin chambre est en mezzanine - poutres apparentes

(porte-fenêtre au dessus)

Une salle de Bains claire et propre

Le coin salon donne sur une terrasse privée ...à l'arrière de la maison.

A droite, vue sur "L'Osteria" : Restaurant

 et en face, en fond de cour, une petite maison au toit pointu : petit bar où est servi le petite déjeuner.

Un petit bijou très à mon goût :

l'OSTERIA :

et ceux qui me connaissent ne seront pas étonnés, je découvre avec plaisir les pièces anciennes accrochées au mur du restaurant. Ici des instruments qui ne datent pas d'aujourd'hui :

Présentation de la petite maison : Piano Bar.

Je vous laisse admirer le lustre

Verre du Murano d'époque ...

Un endroit fort sympathique et un accueil très chaleureux.

Vous pouvez retrouver cet établissement sur le site :

www.locandalacasetta.it

Après avoir récupéré la clé, nous pouvons à présent partir à la découverte d'Angéra,

à 3 km de là.

Dans un prochain message.

Suite de la visite de mon article précédent :

LE JARDIN MEDIEVAL :

A l'intérieur des murs crénelés de l'ancien château, il est aujourd'hui possible d'admirer le Jardin Médiéval. Lieu privilégié de l'amour courtois, le jardin avec ses splendides roses, ses arbres fruitiers et ses herbes officinales, est le lieu idéal pour redécouvrir l'univers social, culturel et symbolique d'une époque qui n'a jamais décliné.

Nous y avons passé un bon moment très agréable.

 Au détour des allées, de très jolis vases posés ça et là.

Vous connaissez mon intérêt pour les poteries,

je ne pouvais y passer à côté sans les mémoriser avec mon objectif :

et de ce jardin, toujours une très jolie vue dont on ne lasse pas .

Ci-dessous, les vignes du Château et en second plan le Lac majeur.

et ce château nous a offert une autre découverte. ...

Dans mon prochain message .

Je vous dis à très bientôt !

Amis randonneurs bonjour.

Le mardi 7 juillet nous ferons l'inauguration du sentier "la route Napoléon à pied" entre Mallemoisson et Malijai.

Je lance un appel à toutes les personnes qui voudraient faire ce parcours dont je serai l'accompagnateur.

C'est une rando facile (16 km pour 500 m de dénivelé).

Tout le monde est bienvenu, vous pouvez amener des amis.

Nous partirons de Mallemoisson pour une arrivée (après une longue pause à midi avec le repas tiré du sac) vers 16 heures dans le parc du château de Malijai où nous serons accueillis par la municipalité avec le pot de l'amitié.

Il serait souhaitable que je connaisse le nombre de participants, aussi je vous demande de me confirmer votre présence avant le 25 juin par mail ou téléphone.

Rendez vous au parking sous le château de Malijai à 9 heures pour organiser le covoiturage entre Malijai et Mallemoisson.

Amicalement.

     PAYAN ALAIN
     15, chemin du plan
     04350 MALIJAI
06.88.61.52.07
04.92.34.50.13
a.f.payan@orange.fr

Comme nous y avons été invités, Dimanche matin 9 h 30, nous étions sur le parvis de l'Eglise où le maire de CARAGLIO nous a rejoint pour assister à la messe. Les fidèles venus nombreux ont rempli l'Eglise qui est d'un grand volume ....Une très belle célébration, ponctuée de morceaux d'orgue accompagnés par une soliste soprano.

 Comme vous pouvez le voir sur ces photos, l'église paroissiale (1779), est absolument magnifique, On peut y admirer......une voûte centrale dall'amplissima, avec les fonts baptismaux des frères Zabreri (1490), des peintures de Luigi Morgari.......

Je n'ai pas pris de photos pendant la célébration, mais je peux vous dire que pendant toute la durée de la messe, une jeune fille, de la police municipale, a porté, sans broncher, l'étendard aux armoiries de Caraglio. Il en est ainsi pour toutes les grandes occasions. Ci-dessous un de ses collègues qui était en poste la veille devant la mairie :

Une belle équipe de volontaires pour la vente du pain, en photo ci-dessus, mais une autre équipe tout aussi nombreuse était à pied d'oeuvre à la Salle de Fêtes pour la mise en place des tables et assurer les service de 250 repas. Sans oublier celles qui ont mis les barrières, affiches et fléchage en place. Merci à toutes ces bonnes volontés sans qui cette manifestation n'aurait plus se dérouler dans de bonnes conditions. Le beau temps était de la partie. Tout s'est terminé dans une bonne ambiance.

Pour toutes celles qui aiment ce travail divin, je vous communique ci-dessous des infos que je viens de recevoir directement de 

Dominique FAVE

CREDO BOUTIS

Et oui je sais, le temps passe trop vite et les vacances n'ont pas encore commencé qu'il faut déjà penser à la rentrée !!!

Mais tout d'abord, pour célébrer l'arrivée de l'été, une belle expo à voir en juin :

A visiter au mois d'août, une exposition au CHATEAU DE L'ARTHAUDIERE à Saint Bonnet de Chavagne (Isere) :

"BOUTIS, EFFETS DE MATIERES et ABSTRACTION"
Vous y retrouverez tous les boutis de soie contemporains présentés en septembre 2014
à Sainte Marie-aux-Mines.

De plus, il vous sera proposé sur place un atelier INITIATION AU BOUTIS SUR SOIE
durant lequel vous réaliserez votre initiale en boutis,
le samedi 8 aout de 10h à 17h30.

A la rentrée, enfin les 3 et 4 octobre, lorsque cartables, cahiers et livres auront été étrennés, 
Dominique FAVE sera présente lors des 8èmes RENCONTRES INTERCLUBS DE PUYLOUBIER, 
organisées par l"association COUSI-COUSETTE.

Le samedi 3 elle vous proposera 2 ateliers BOUTIS SUR SOIE (infos ICI )
et le dimanche 4 elle sera sur son stand (avec ses kits, fournitures, etc ...)
pour répondre à vos questions techniques éventuelles.

Voilà ce que vous pourrez réaliser lors des ateliers :

Collier ou broche

3 FLEURS DE SAKURA brodées et perlées.

ET ICI UN NOUVEAU MODELE POUR FAIRE PLAISIR A NOS ADOS,
elle VOUS LAISSE LE DÉCOUVRIR, CEST UN PEU ... SPÉCIAL ... 

ALORS A BIENTÔT !!!

Après quelques craintes avec la météo la veille, finalement nous avons eu une très belle journée, encore chaude aujourd'hui. Au four tout le pain a été vendu. Les personnes qui s'étaient faites inscrire pour le repas ont très apprécié le spectacle donné par la Bélugue des Sièyes à la Salle des Fêtes . Le marché artisanal a été très fréquenté avenc une bonne animation musicale. Plusieurs groupes se sont succédés aux quatre coins du village. Un petit aperçu bien que derrière mon stand, je n'ai pas pu prendre beaucoup de photos.

Parmi les stands, les beaux sacs de Claudie ...

Après nos amis Dignois : "Les copains d'abord", voici ci-dessous la "Fanfare du Boumas" de Sisteron

Un marché très provençal au milieu de la lavande, du miel et de l'ail.

et pour finir un petit aperçu de mon stand :

Je remercie toutes les personnes qui sont venues me rendre visite

et je vous donne rendez-vous pour le Marché de la création

organisé par Volonne Initiatives les :

16 et 17 NOVEMBRE plrochains.

En cette période calendale, Une halte s'impose sur les quais du Vieux Port où se tiennent en ce moment le Marché de Noël et surtout la plus ancienne foire aux santons de Marseille, créee en 1803, avec pas moins de 26 santonniers du 16 novembre au 5 janvier. Voici un petit reportage photos que j'ai prises samedi après-midi :

A l'entrée du marché de Noël.... les enfants s'en donnent à coeur joie avec les rennes du Père Noël :

Après un passage obligé devant les services de Sécurité 

Découverte des nombreux santonniers ....

Entre deux stands, belle vue sur le Vieux Port de Marseille.

Et face au port, l'Eglise Saint Ferréol - Les Augustins.

Suite de notre balade dans un message suivant.

Je fais souvent l'inventaire de mon petit stock de laine et suivant mon inspiration du moment, j'en sors une du lot. Que faire avec une pelote de 140 g et guère plus de Scarfette Yarn ( du made in China) - 22 % de laine et 78 % Acrylic Texture difficile à mélanger avec une autre laine et pas assez pour faire un pull à manches longues. J'ai donc opté pour un petit gilet sans manches à encolure ronde pour ma petite fille Taille 10 ans. Ce gilet est crocheté tout droit, seule l'encolure est marquée. La bordure picotée des manches accentue l'allure légère de cette création. Je suis assez satisfaite de mon ouvrage qui viendra réchauffer une robe légère.

Et bien oui... à ce qu'il parait que cet hiver il va falloir se couvrir doublement si nous devons baisser le chauffage..... Un ensemble pour Homme que je viens de terminer : Bonnet/Tour de cou/mitaines. Cet article vous sera proposé sur mon stand pour le marché de la création à volonne. Ce dernier est en préparation pour fin novembre. Je vous posterai l'affiche dès qu'elle sera faite.

Bonjour à vous toutes qui passez par là....Ouh là là, j'ai du mal à tenir mon blog à jour faute de temps. il faut dire que je veux être de partout à la fois .... facebook... Instagram....

Mais il faut bien avoir une vitrine n'est-ce pas ???? Alors il faut que je jongle entre deux travaux ménagers, la cuisine .... dur dur la vie de mammy retraitée.

Alors en ce mois d'octobre j'ai déclaré ouverte la saison des "Mitaines et Manchettes"....