Premier concours au Centre Equestre Pépinois pour Charline (Dimanche 25/10/09)
Hier dimanche,
tous debouts de trés bonne heure,
pas question de faire la grasse matinée,
même avec le décalage horaire.
C'est un grand jour au Centre équestre peipinois à PEIPIN 04
8 h 1/4, notre cavalière du haut de ses six ans est déjà à pied d'oeuvre.
C'est son premier concours.
Reconnaissance à pied du parcours
Et c'est parti pour un petit tour d'échauffement.
On écoute les derniers conseils,
un petit tour au trot,
Le stress est là, c'est bientôt le départ ....
On attend l'appel de son numéro,
C'est parti, on se présente devant le jury avec sa monitrice.
Dernière ligne droite et dernier test, changer la citrouille de tonneau et passer entre.
Ouf, le premier tour est terminé, on refera le parcours une seconde fois avec une monture différente.
Résultat du classement : 13ème sur 30.
Pas si mal que ça. Bravo Charline !
Mamie est contente d'être venue te voir.
un petit tableau sympas en prime :
... Il fait nuit. Dans l'écurie silencieuse, sur la paille qui crisse, un petit être aux longues pattes s'agite.
C'est un poulain qui vient de naître. Sa mère l'encourage à se lever, en le léchant doucement. Il essaie en tremblant, retombe, essaie de nouveau et, finalement, se dresse sur ses pattes frêles, vingt miutes seulement après sa naissance ...
Charline et le cheval, c'est une grande histoire, il a sa place partout, non seulement comme compagnon le mercredi au centre équestre, mais sa chambre est devenue son ranch ..... ! C'est devenu l'univers du cheval : livres, DVD, jeux vidéos, posters, et chevaux de toutes sortes, de différentes robes, de différentes races, et de différentes tailles. C'est le cheval-passion !!
Et pour finir cette journée un petit poème de Vette de FONCLARE de Lambesc :
LE POULAIN VERT
Un soir, après un concert
De criquets et de cigales
Naquit un poulain tout vert,
Des sabots aux amygdales.
C'était parfois très gênant
Pour son maître qui voulait
L'envoyer aimablement
Paître au milieu de son pré
Car vert au milieu du vert,
Personne ne l'y voyait !
Il n'y avait que sa mère
Pour aisément l'y trouver.
Mais on dit que les mamans,
Avec leur gros coeur tout chaud,
Trouvent toujours leur enfant,
Même ceux portant sabots.